Redonnons la parole au pilotes.
Aujourd'hui Patrick Verhee, naviguateur sur Mirage IVA à la retraite nous raconte sa passion pour son Lancair.
Le plaisir de voler !
Petit avion biplaces, aile basse, train rentrant, le Lancair (prononcer Lançair !) est dans la catégorie « construction amateur ».
Issu d’un kit d’origine Américaine, c’est un avion qui sort un peu de l’ordinaire pour plusieurs raisons :
Sa ligne, surtout en vol et train rentré, lui donne un petit air de « chasseur ».
Ses performances 160 Kts (300 km/h) en croisière économique.
Son aptitude au voyage : 5h à 300km/h permettent de se déplacer loin et vite.
Petites roues et vitesse d’atterrissage élevée le prive malheureusement de la plupart des terrains en herbe.
Les commandes de vol sont assez sensibles et, compte tenu de la vitesse, le pilotage se doit de ne pas être « heurté ».
On ne monte pas dans un Lancair, on l’enfile ! Une fois en place, la position est plutôt allongée mais ce n’est pas pour s’endormir ! D’un pilotage simple en vol rectiligne et en altitude il peut être également vif si son pilote le désire. Ce n’est toutefois pas un avion destiné à faire de la voltige en raison de sa prise de vitesse dès que la trajectoire est descendante.
C’est plus un avion de propriétaire que de club. Son statut de « construction amateur » simplifie grandement son entretien et diminue les coûts. L’économie ainsi réalisée est souvent aussitôt réinvestie en heures de vol pour le plus grand bonheur du bénéficiaire !
Petit avion biplaces, aile basse, train rentrant, le Lancair (prononcer Lançair !) est dans la catégorie « construction amateur ».
Issu d’un kit d’origine Américaine, c’est un avion qui sort un peu de l’ordinaire pour plusieurs raisons :
Sa ligne, surtout en vol et train rentré, lui donne un petit air de « chasseur ».
Ses performances 160 Kts (300 km/h) en croisière économique.
Son aptitude au voyage : 5h à 300km/h permettent de se déplacer loin et vite.
Petites roues et vitesse d’atterrissage élevée le prive malheureusement de la plupart des terrains en herbe.
Les commandes de vol sont assez sensibles et, compte tenu de la vitesse, le pilotage se doit de ne pas être « heurté ».
On ne monte pas dans un Lancair, on l’enfile ! Une fois en place, la position est plutôt allongée mais ce n’est pas pour s’endormir ! D’un pilotage simple en vol rectiligne et en altitude il peut être également vif si son pilote le désire. Ce n’est toutefois pas un avion destiné à faire de la voltige en raison de sa prise de vitesse dès que la trajectoire est descendante.
C’est plus un avion de propriétaire que de club. Son statut de « construction amateur » simplifie grandement son entretien et diminue les coûts. L’économie ainsi réalisée est souvent aussitôt réinvestie en heures de vol pour le plus grand bonheur du bénéficiaire !
1 commentaire:
Bonjour, je suis propriétaire d'un Lancair 360, 180 cv 200kt en croisière a 9000ft, je l'ai équipé d'un pilote automatique. Il est merveilleusement bien fini et n'a que peu d'heures. Je cherche a le vendre, auriez vous des amateurs?
Si oui : bernd.a.kluge@gmail.com
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